Aiie... >.< [PV Ragzen]

Le sang coulait dans le poil, entourant la mâchoire robuste et tendre, de Frédérique. La faim l’avait surprise quelques temps plus tôt, alors qu’elle apercevait plus loin, un homme… Un vieil, à l’air rabougris… et gras! Sa gueule, sèche par manque d’eau, ne demandait qu’à goûter cette chair, sur cet homme qu’elle ne lâchait plus des yeux. Alors, sous sa forme de loup-garou, une grande louve en fait, elle se dirigea vers cet homme, par derrière et par surprise, elle mordit dans la chair du coup de l’inconnu. Celui-ci s’affaissa au sol, et Frédérique ne se fit pas prier, pour se mettre à manger…

°°°

Le corp était maintenant inerte sur le sol, vidé de la chair et de tout aliments qu’il pouvait contenir, bon à manger. Frédérique en était presque aux anges, elle n’avait pas mangé depuis plusieurs jours, presque 2 semaines. Et tout à coup, sans prendre garde, elle reçus sur la tête un coup… on aurait pue croire à un bâton, mais ce n’était pas ça, c’était autre chose. Bon, et puis de toute façon… cela importait peut, elle commençait à être étourdie, mais ce ressaisie. Elle se tourna rapidement, ses yeux paraissant presque gris à cet instant, elle fixa l’inconnu. Un vampire… Frédérique recula un peut, avant de bondir sauvagement sur cet être, et de la mordre à la gorge. Il faut croire qu’elle était devenue bonne pour cela… La vampire déposa une main sur sa gorge, avant de se laisser choir au sol. Maintenant, il allait mourir…

Donc, après cet instant pénible, dont elle se serait passée, elle se retransforma en humaine. Doucement, elle déposa une main derrière sa tête et s’aperçue qu’elle saignait. Sûrement le coup… Une larme perla au coin de son œil, de peur, puis, elle se retira, elle laissa les ruelles, le corp seul, là…
Ses pas la menèrent à l’usine, l’usine inerte elle aussi. Il n’y avait personne, elle alla donc se réfugier derrière de gros tonneaux, puis de s’y asseoir. La tête commençait à lui tourner de plus en plus, ne possédant plus l’adrénaline qu’elle avait acquise pour tuer le vampire. Et doucement, elle ferma ses yeux… Une main derrière la tête. Elle avait l’air d’un ange, si ce n,était qu’elle n,avait pas d’ailes ou autre attribues d’anges.
Sa peau fine et transparente, reflétait à la lumière de la lune, qui filtrait au travers d’un trou, dans un mûr…

Ragzen était a la chasse il avait une faim énorme et pourtant cella fessait deux jour qu'il avait manger. Pourquoi avait-il toujours aussi faim. Étais à cause de son sang pur, il ne la savait point tout se qu'il pensait c'était manger. Manger un Humain ou un vampire il s'en fichait tout se qu'il voulais c'était avoir quelque chose a se mettre sous la dents. Quelque chose de croquant, quelque chose de vivant et qui crirait en le voyait arriver avec une promesse de mort. Cela fessait maintenant trois heure qu'il se promenait dans la ville a la recherche de chair fraiche. Il ne l'avait toujours pas trouver et pourtant il devait bien y avoir quelqu'un. C'est alors qu'il sentit l'odeur d'un humain mort de peur. Il se dirigat vers celui si. Il était cacher au fin font d'une maison pensent surement qu'il ne se ferais jamais trouver. Ragzen surgit devant l'homme.

"Pitiez ne me tuer pas."

L'homme continuait de se plaindre. Le loup s'en fichait royalement tout se qu'il voulais c'était manger. L'homme tenta de prendre c'est jambes a sont coup, mais le Loup l'attrapa par la jambe. Il pencha sa tête vers l'homme et commença a manger dévorant tranquillement l'homme en commencent par les membres a chaque morceau de chair enlever un cris sortait de la bouche de l'homme. L'homme était déjà mort avant même que Ragzen aille finit de manger un bras. Le loup finit alors sont travaille. Sa faim avait maintenant disparut. Il sortit de la maison son pelage blanc était maintenant couvert de sang rouge encore frais, on pouvais voir des lambeau de chair entre c'est dents. Il sentit alors un odeur de loup-garou blesser. Il suivit l'odeur qui le mena jusqu'à l'usine il découvrit un jeune femme derrière des tonneau elle saignait beaucoup.

"Tout va bien?"

Alors qu’elle allait s’endormir, ou bien… tomber dans les pommes, Frédérique entendit des pas dans l’usine. Quelqu’un entrait, c’était un loup-garou. Hem… pas un loup-garou qu’elle connaissait. Elle se mit presque à prier pour ne pas se faire déranger.
Mais, par malheur, les pas vinrent devant elle, et une voix grave, étonnante se dire entendre, lui demandant si elle allait bien. Si elle allait bien!! Non mais, il fallait être bouché pour poser une telle question, alors que la personne à qui vous la poser, saigne énormément, et est plié en deux, dans un petit coins reculé.
Donc, elle ouvrit ses grand yeux bleu blanc, et fixa l’étranger devant elle. Il était encore sous forme de loup-garou, une grande bête blanche, encore plus impressionnante qu’elle n’avait pue se l’imaginer.
Puis, elle dit d’un ton affreusement sec :

« Est-ce que j’ai l’air, de bien allez!!? »

Elle fit les gros yeux, comme si il avait était vraiment épais, et le fixa, tout en se levant, titubant légèrement, encore étourdie, par la trop grande perte de sang. Et en fait, elle n’arrêta pas de tituber, elle titubait, puis se laissa choir bêtement au sol, plus près de l’inconnu. Elle était sur le dos, et la lumière de la lune éclairait l’étranger. Elle le fixa de nouveau….
Erf… comme elle avait mal, c’était presque épuisant comme douleur. Non! Pas presque, C’ÉTAIT épuisant. Elle avait l’impression de se vider de toute son énergie. Elle perdait vraiment trop de sang, et d’ailleurs, sa magnifique robe, verte…. Kaki, en était complètement tâché.

« Est-ce que j’ai l’air, de bien allez!!? »

Elle venait de dire sa d'un ton sec. Elle tenta alors de se lever elle tituba un peu avant de retomber au sol.

"Bon c'est vrai que vous avez pas l'air d'aller bien, mais moi je ne peux vous aidez alors je vais vous transporter jusqu'à des amis qui peuve vous aidez."

Il avait dit cela d'un voie douce. Il se rapprocha de la femme et se pencha alors.

"Tout va bien aller je ne vous ferrez pas de mal."

La bête blanche prononça quelques paroles, avant de se pencher légèrement vers Frédérique. Celle-ci, ne le lâchait pas des yeux, comme si elle avait peur qu’il lui fasse quelque chose. Mais en fait, non, ce n’était pas cette peur… Mais plutôt, celle de se rappeler son père. Car, sous cette fourrure et cette gueule, se cachait le visage d’un homme, et elle avait si peur de voir son père….
Car après tout, il était peut-être encore en vie, peut-être que…. Rhoooo, non, elle devait arrêter de penser à cela. Ce n’était sûrement pas son père, il était mort, allez, elle devait cesser de penser à tout cela. Puis, il dit qu’elle ne devait pas avoir peur, qu’il ne lui ferait pas de mal. Alors, elle sourit bêtement, de manière plutôt sarcastique et dit, légèrement rieuse :

« C’est loin… enfin, ils sont loin tes amis? »

Elle avait la tête posé sur la sol, elle avait presque l’air à l’agonie. Mais en fait, le manque de sang au cerveau provoquait une genre de sécrétion, qui faisait qu’elle se sentait, hem, comment dire, drogué.
Mais par contre, elle ne souriait pas, seulement, ses yeux commençaient à se fermer. Elle avait vraiment envie de s’endormir. Mais le problème, c’est qu’elle ne savait pas si elle allait se réveiller ensuite, alors quelque chose la poussait à rester éveillée.
Puis, elle dit :

« J’ai envie de dormir… »

Ses yeux se crispèrent, elle réprimanda un long bâillement.

La jeune femme lui dit alors qu'elle avait envie de dormir. il la prit par les épaules et la força a se réveiller.

"Tu ne peux dormir si non c'est la fin assurer."

Il la prit alors dans c'est bras puissant et partit a la cours vers l'église.



Il arriva a l'église il avait fait le trajet en cinq minute, se qui était très peu. La jeune femme était encore a moitié éveiller. Il défonça les porte de l'église avec son épaule un Ange arriva alors rapidement.

"Qui a-t-il Ragzen..."

L'age vit alors la jeune femme dans c'est bras et c'était la première fois que Ragzen revenait sous sa forme de Loup-Garou a l'église alors il ne savait pas se qui impressionnait le plus l'ange lui ou la jeune femme.

"Que lui a tu fait grosse brute sans cervelle."

"Moi j'ai rien fais c'est un vampire et comment viens tu de m'appeler toi?"

"Rien rien j'ai rien dit...On n'a d'autre chose à faire la il faux la soigner alors déposse la sur le sol."

Ragzen la déposa sur le sol et se tassa pour laisser l'ange la soigner. Pendant qu'il fessait cela Ragzen en profita pour redevenir sous sa forme humaine. L'ange se releva et regarda Ragzen.

"Rag il sans est fallut de peu un peu plus et elle mourait. Elle te doit la vie."

Ragzen se raprocha de la jeune femme.

Malgré les paroles du loup-garou, Frédérique avait vraiment envie de dormir. Ce n’est qu’en se concentrant sur les pas de celui-ci, qu’elle réussis à tenir bon, jusqu’à l’endroit où il l’emmenait. En arrivant dans ce lieux, qu’elle avait identifiée d’église, elle entendit une voix… Qui se mit à parler à Ragzen. C’était le nom du garçon, qui était en train de la sauver. Elle eu presque envie de sourire, si ça n,aurait été du fait qu’elle souffrait, elle l’aurait sûrement fait. Puis, elle se dit déposer au sol, et l’entendit partir. Pourtant, elle aurait tout donner pour rester dans les bras protecteurs du loup-garou.
Mais bon, l’ange, à ce qu’elle avait compris, se mit à la soigner. Après un court ou long moment, ça elle ne s’en était pas rendu compte. Elle se retrouva seule quelque seconde, et n,entendit pas au loin ce que l’ange disait à Ragzen.
Donc, encore étourdie, elle se redressa. Elle n’aimait pas vraiment être couché en compagnie d’autres personnes, ça la mettait en position de désavantage si elle se faisait attaquer, et on est jamais à l’abris d’un grain de sable.
Puis, un homme s’approcha, aux cheveux blanc. Elle en déduit donc que c’était Ragzen. Il était bien bâtit, très grand, et même beau. Elle n’avait pas du tout honte de la penser, c’était une jeune tout à fait beau, trop beau peut-être. Enfin, d’après l’avis très peut, sollicité de Frédérique!
Maintenant, possédant assez de force elle sourit, bien qu’elle en ait pas assez possédée pour rester assise, elle le faisait. Pour regarder en même temps, un peut autour d’elle. Sinon, c’était ennuyeux, voir toujours la même chose, au plafond.

« Je… merci! »

Dit-elle simplement, d’un ton qui ne laissait aucunement voir sa froideur habituelle. Elle était reconnaissante et douce, même très faible. ^^

La jeune femme le remercia.

"Se n'est rien, mais il va falloir que tu te repose tu est encore très faible. Je vais veiller sur toi si tu veux tu peux prendre mon lit."

Il regarda l'ange, mais il avait déjà disparut.

*C'est bien eux sa il sont toujours la quand j'arrive et après pouf on les voix plus. Au moins c'est bon comme sa je sait qu'il sont la.*

Il reporta son attention vers la jeune femme elle était magnifique. Un beau vissage avec de magnifique cheveux roux.

"Tu...est..."

Il était incapable de finit sa phrase.

Un lit… cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas étendue dans l’un de ses confortable objet servant à la sieste et au sommeil profond la nuit. Elle ne se mit pas à rêver, il venait de lui proposer de veiller sur elle, mais ça, c’est ce qu’elle fuyait depuis si longtemps. Elle ne voulait pas qu’on s’occupe d’elle, elle voulait s’occuper des autres, ne dépendre de personne. Et, même si elle était faible, elle pouvait agir.

« Merci… mais je ne suis pas si faible que cela! »

Elle se plaça, de façon à pouvoir essayer de se lever. Mais même si elle le voulait, elle n’était pas capable de redresser, pourquoi? Elle ne voulait pas dépendre de Ragzen. Encore moins de lui, puisqu’il venait de lui sauver la vie, c’était bien assez!
Mais bon, elle se laissa retomber sur les fesses, face à Ragzen, elle lui sourit, avant de coller ses genoux contre sa poitrine, de croiser ses bras sur ses genoux et de déposer son menton sur son bras. Elle était confortable, contre elle même…
Puis, il dit deux mots, que Frédérique ne comprit pas trop les sens, donc, elle dit : « Je suis quoi? »

Elle se demandait si elle avait quelque chose, donc elle se mit à toucher sa tête ses vêtements, puis vinrent ses cheveux. Elle sentit qu’ils étaient ébouriffée, donc, en un seul geste, elle retira l’élastique qui les retenait en une queue de cheval. Ils étaient très long, soyeux, et ressemblaient un feu. Puis, elle esquissa un autre léger sourire, tout en rougissant et en baissant la tête.
Mais en fait, elle ne rougissait pas de gêne, mais plutôt de honte. Elle avait honte qu’il doive perdre de son temps pour s’occuper d’une fillette incapable de prendre soin d’elle-même.

Il la vit arranger c'est cheveux. Elle défie alors sa queue de cheval. C'est alors qu'il remarqua que c'est cheveux ressemblait a un feu.

"Rien je n'aurais pas du parler."

Puis Ragzen l'aida a se relever se quel avait voulut faire, mais en avait été incapable.

"Se n'est pas être faible qu'accepter l'aide qu'on vous propose. Vous ne survivrez même pas a une nuit seul a l'extérieur. Accepter le lit que je vous offre."

Ragzen avait dit cela d'une voix douce et calme. Il ne la laisserais pas partir sans au moins quel soit soigner et sur pied.

"Magnifique."

Le mot était sortit tout seul de sa bouche. Il espérait qu'elle ne l'aille pas entendue. Quoi que c'était peine perdue il était juste a côté d'elle il la soutenait pour pas quel tombe.

Il dit quelques mots aux paroles de Frédérique, puis ensuite, il vint l’aider à se lever. Elle lui en fut, une fois de plus, très reconnaissante, mais elle aurait autant voulue le faire par elle même. Elle ne dit ensuite rien à ses paroles, jusqu’à ce qu’il parle de l’aide qu’il lui aidait, et du lit, et tout le tralala étrange, dont elle aurait bien pue se passer.

« Je… ce n,est pas ça, seulement, depuis que… enfin, depuis que je suis consciente de la mort de mon père, je me suis promises de ne dépendre de personne d’autre que moi à l’avenir, mais je vois que j’en suis incapable… »

Un nouveau sourire, plus triste qu’autre chose se dessina sur ses petites lèvres en cœur, pincé. Mais bon, elle pouvait au moins accepter pour cette nuit, une fois n’est pas coutume. Le lendemain elle reprendrait des forces, et pourrait à nouveau allez affronter sa vie! Puis, pendant qu’il la soutenait, elle l’entendit dire un mot… elle sourit à celui-ci, bien qu’elle ne soit tout à fait sûr de ce qu’il voulait dire… Enfin, elle n,en fit pas tout un plat, et dit :

« Hem… alors, il est où ton lit? »

Elle avait en quelque sorte, vraiment envies de se laisser glisser sur un lit, ce qu’elle n’avait pas fait depuis belle lurette.

« Hem… alors, il est où ton lit? »

Elle n'avait pas entendue se qu'il venait de dire. Après 2515 ans il ne savait toujours pas comment agir avec une jeune femme, il était complètement idiot.

"Mon lit se trouve dans le sous sol."

Il la soutenant et se dirigat avec elle vers les marches. Arriver au marche il l'aida a décendre tranquillement il ne voulais pas quel se casse quelque chose.

"Moi c'est ma famille que j'ai perdue au début de tout sa. Au début des vampires lorsqu'il fur crée."

Très peu de gens savait qu'il était un pur sang. Qu'il avait été crée par Gaia. En fait personne ne connais sa véritable histoire. Il arriva alors dans une pièce ou reposait un lit asser grand pour deux ou trois personne, il y avait une commode asser bien entretenus et une chaise près du lit.

"C'est la que je suit."

Il l'accompagna jusqu'au lit et l'aida à s'assoir sur celui si. Il s'assit alors sur la chaise.

Il lui dit ou se trouvait son lit, et sans même attendre de réponse ou de question, il l’aida à se rendre là ou le lit se trouvait. Ils durent même descendrent des marches, dure dure, mais faisable. Ce fut quelque peut pénible, mais à peine. Puis, pendant le chemin, il parla de sa famille… il n’avait pas que perdu son père, il avait perdu toute sa famille. Enfin, comme Frédérique, considérant que sa seule fusse été ses parents. Mais bon, elle ne dit rien sur la famille de Ragzen, et fut bien aise de s,asseoir quand ils arrivèrent au lit. Lui, s’assied en face d’elle, tout en disant que c’était là qu’il était…
Son petit chez-soi à lui, c’était ça. Elle lui en étant reconnaissante, reconnaissante de l’accueillir chez lui, de la laisser dormir dans le lit, de l’aider à descendre les marches, et tout le tralala indispensable.
Elle se gratta l’arrière de la tête, pensivement, elle ouvrit la bouche, mais rien n’en sortit. Elle voulait dire quelque chose, débuter une conversation, mais elle n’était pas vraiment douer pour la chose. Mais, elle se risqua tout de même :

« Alors… tu t’appelles Ragzen, hein? »

Elle se mit à faire allez ses pieds d’avant en arrière, contre le lit, baissant les yeux vers ceux-ci, observant les allez retour qu’ils exécutaient, en se cognant contre le lit, rebondissant, flottant.

« Alors… tu t’appelles Ragzen, hein? »

"Oui et vous comment vous nommer vous je n'est point entendue votre nom si vous me l'avez dit jolie dame."

Il ne savait pas trop comment agir cela fessait plusieurs année presque 400 ans qu'il n'avait pas été en compagnie d'une jeune et jolie femme. Il ne savait pas quel question dire pour partir un sujet de conversation alors il se risqua.

"D'où tenner vous votre Gêne de Loup-Garou?"

Elle rougit légèrement au commentaire de Ragzen. Bien que ce fut très passif, elle ne se faisait que très rarement dire qu’elle était jolie, pour ne pas dire jamais. Elle sourit légèrement, laissant tomber quelques mèches, plus rousses que les autres, devant son visage. Puis, elle dit :

« Je suis Frédérique… » ^^

Elle n’était vraiment pas décontracté, au contraire, ses muscles la faisait souffrir, elle les contractait, comme si elle stressait. Pourtant, à l’habitude, elle n,agissait pas ainsi, depuis la mort de sa mère, elle n’avait en fait parlé à personne. Il était un des premiers à qui elle adressait vraiment la parole.
Puis, il lui posa une autre question, d’où elle tenait ses gêne de loup-garou. Alors, sans attendre, elle dit :

« En fait, d’aussi loin que je me rappelle, ma famille n’a toujours contenue que des loups-garous. Depuis leurs créations jusqu’à maintenant…. Que des loups-garous, aucun humain, ou autre race. »

Son regard se perdit un peut plus loin, derrière Ragzen et à ce moment, on pouvait vraiment voir qu’elle ne voyait presque rien, dans la faible lumière du sous-sol. Ses yeux presque blanc ne bougeait pas, et ne donnait pas vraiment signe de présence…

« Et toi? »

Ça avait sortit tout naturellement…

"Alors tu est une pur race."

Elle lui renvoya alors sa question. Il vit aussi que la jeune fille avait des yeux blanc et que ceux si ne bougeait presque pas présentement comme si il y avait aucune prèsence, mais il la savait a côté d'elle.

"Moi je les tien de Gaia elle même je suit l'un des premiers Loup-Garou qui est arriver sur terre."

Il attendait de voir la réaction de la jeune femme. Peux de gens avait l'honneur de rencontrer un des premier garou. En fait il se comptait sur les doigt d'une mains. Il était le dernier des premiers.

"La tu doit te demander quel âge que j'ai. Je dirait que j'ai environ 2515 ans."

« Euh… ouais^^ »

Elle tourna délicatement ses yeux vers lui, pour le fixer. Elle ne voyait vraiment que son visage, et il fallait qu’elle se concentre dans la noirceur, sinon, elle ne verrait qu’un ombre devant elle, et encore. Mais bon, déjà qu’elle pouvait percevoir la présence de celui-ci, c’était bien…
Puis, il lui expliqua quelles étaient ses origines. C’est là qu’elle sue qu’il était un des derniers premiers. Les plus grands, les meilleurs de tous… Frédérique resta un instant bouche bée, essayant d’articuler quelque chose, mais ne ressemblant plus à un poisson rouge qu’a autre chose. Puis, il lui parla de son âge, elle sourit, hocha la tête de gauche à droite et dit :

« En fait… qu’il s’agisse de n’importe qui, l’âge m’est très indifférent. »

Et c’était vrais, elle se foutait tellement de l’âge que pouvait porter une personne. Ça changeait quoi à sa personnalité, à ce qu’il était.? Einh? Alors voilà…

« Et euh, je suis contente que tu m’es trouvé… enfin, merci encore, je serais sûrement morte si tu ne m’avais pas repéré! »

« Et euh, je suis contente que tu m’es trouvé… enfin, merci encore, je serais sûrement morte si tu ne m’avais pas repéré! »

"Se n'est rien j'ai fait se que je devait faire seul Gaia a porter mes pas jusqu'à toi. Ce n'est pas moi que tu doit remercier, mais elle."

Ragzen se leva et se dirigea vers la commode. Il ouvrit alors le premier tiroir, il était remplit d'arme que se soit des Dague, des arme a feu ou autre. Il enleva son sabre de derrière son dos et le déposa dans le tiroir. Il le referma et se tourna vers la jeune femme.

"Bon aller étend toi tu doit retrouver des force."

Ragzen se rapprocha du lit en se coucha sur le sol.

Elle regarda Ragzen allez ranger son arme dans la commode, tout proche du lit. Il revint alors vers elle, lui dit quelques mots, pour ensuite s’étendre sur le sol, froid et dur. L’horreur, elle pouvait profiter d’un lit cette nuit, mais elle en privait quelqu’un. Que faire? Alors, elle s’approche du bord du lit, s’étendit pour pouvoir regarder Ragzen, en quelque sorte, la tête dépassant le lit.

« J’ai pas envie de dormir… et, tu es sûr que tu ne veux pas dormir dans ton lit? Je peux dormir à terre, je suis habituée. »

Son ton avait été totalement neutre, comme si ce n,était rien du tout, que c’était normal quoi. Par contre, un sourire se dessina sur son visage fin, ses yeux bleu pâle fixaient Ragzen, sans le lâcher, et pourtant, elle ne le voyait que très peut. Elle aurait aimé le voir… bien, voir qui lui avait sauver la vie. Enfin, peut-être qu’elle le verrait bien le lendemain.
Elle lâcha donc un léger rire cristallin, puis elle se mis à tousser. Elle toussa un moment, car, bien qu’elle fut faite forte, personne n’est a l’abris d’une brise.

« J’ai pas envie de dormir… et, tu es sûr que tu ne veux pas dormir dans ton lit? Je peux dormir à terre, je suis habituée. »

Elle lui sourit alors et se mit alors a tousser un peu. Il attendit qu'elle aille finit avant de dire.

"Tu n'a pas envie, mais ton corps veux dormir lui et non c'est correct je suit correct ou je suit a moins que tu veule que je monte dans le lit avec toi."

Il était très bien sur le sol, mais si elle voulais qu'il monte alors il ne si opserait pas.

"Tu n'a pas envie, mais ton corps veux dormir lui et non c'est correct je suit correct ou je suit a moins que tu veule que je monte dans le lit avec toi."

Il avait dit ces mots, après qu’elle ait terminée de tousser. Woaw, si elle voulait qu’il monte dans le lit avec elle? C’était une genre de demande? Rhoo le pervers. >.< Frédérique avait presque envie de lui crier après, mais d’un autre côté, elle était prête à lui dire oui. Elle ne pouvait pas supporter que quelqu’un soit ainsi inconfortable par sa faute, alors, doucement, de sa voix plus timide.

« Bah, tu serais plus confortable… et je me sentirais moins coupable! »

Elle se redressa, pour s’asseoir dans le lit. Comme en grenouille, elle ne savait pas comment elle avait fait, ni où elle avait puisé la force pour le faire, mais elle l’avait. Sans s’en rendre compte en fait. Elle pencha légèrement la tête sur le côté, et lui sourit doucement, tendrement, comme elle l’aurait fait avec sa mère, son père.

« Bah, tu serais plus confortable… et je me sentirais moins coupable! »

Il mit alors c'est main sur le sol et poussa de c'est main pour se relever. Il vit alors que la jeune fille était assit en grenouille sur le lit et elle avait la tête penché et lui souriait.

"D'accord alors je vais dormit moi aussi."

Ragzen s'assit sur le lit. Il n'avait aucune arrière penser il se fichait complètement de dormir sur le sol ou dans le lit si elle savait le nombre de fois ou il avait du dormir sur le sol dur, parfois froids et humide se réveillant avec la fourrure tout tremper, car il se transformait quelque fois dans son sommeil. Cela arrivait lorsqu'il fessait froid un réflex pour garder sa chaleur surement.

"C'est quoi se petit sourire?"

*A quoi elle pense elle?.*

Frédérique sourit quand Ragzen accepta de dormir dans le lit, avec elle. Elle ne pensait à rien, seulement, elle n’aurait pas pue dormir si elle avait sue que par sa faute, quelqu’un dormait sur le sol. Elle continuait de sourire, et il vint s’asseoir sur le lit, elle, elle allongea ses longues jambes, tout en continuant de le regarder, puis il lui dit quelques mots. Quel sourire? Elle souriait tout le temps… enfin, avec les gens qu’elle appréciait. Alors elle dit :

« Euh…. C’est mon sourire. Normalement quand j’apprécie une personne, je ne lui offre pas mon super air bête, je lui souris!! »

Elle avait plisser ses sourcils, et lâcha un léger rire à la fin de ce qu’elle dit. Non mais, il devait penser qu’elle voulait abuser de lui! Le malade, non mais… O__O

Elle devait le prendre pour un malade.

"D'accord Désoler."

Il lui rendit son sourire. Il s'étendit alors sur le dos, mit sa tête sur l'oreiller. Il était coucher sur les couverte. Il dormait rarement avec. Il regarda Frédérique. Elle émit alors un petit rire.

"Qui a-t-il jeune dame?"

Il se demandait vraiment qu'es qu'elle avait. Elle devait le prendre pour un fou. Il ne la comprenait pas. Il ne connaissait pas les femmes elle était si compliquer.

"J'ai fait quelque chose de drôle?"