Sous la pluie [PV: Frédérique]

Un croissant de Lune venait à peine de se dévoilé dans le ciel, puisque des nuages sombres ne cessaient de la camouflée. La nuit était froide, la nature se déchaînait et la pâle lueur de la Lune éclairait à peine les rues de la ville qui était autrefois nommé la ville lumière. Si elle était à moitié détruite, elle ne perdait pas de sa beauté. Elle était différente, certes, mais aussi magnifique. Ses vêtements collés contre sa peau, Jake cherchait un abris où il pourrait attendre que le ciel se dégage. Il marchait rapidement, craignant d’être attaqué. Il n’attendait que la pluie incessante qui l’empêchait complètement d’entendre quoi que se soit, même les hurlements des loup-garous qu’on pouvait normalement entendre à cette heure. De la même façon, l’orage était si féroce que Jake devait fermer les yeux sans quoi l’eau trouvait son chemin jusqu’à ceux-ci. Après quelques minutes, il s’arrêta un instant, s’appuyant sur une automobile qui traînait sur le trottoir. Il devait trouver un abris et vite, sans quoi il risquait fort bien de tomber sur une créature nocturne. Heureusement pour lui, cette pluie devait réduire énormément l’efficacité de l’odorat des loup-garous. Soudain, la pluie sembla redoubler d’ardeur, comme si elle n’était déjà pas assez gênante. Jake se remit donc en route. Mais à peine eut-il contourné l’automobile qui lui bloquait la route, qu’il se heurta à quelque chose. Sur le coup, il échappa un léger hoquet de surprise. Lorsqu’il reprit ses esprits, il vit, à travers cette pluie déchaînée, rien de moins qu’une femme, probablement le "quelque chose" sur lequel il s’était heurté.

-J… Je suis… d… désolé.

La lune filtrait enfin, au travers de ses nuages que Frédérique ne cessait de haïr. Comme elle aurait aimée pouvoir les faire disparaître, ne plus les voir, et à la place, mettre dans le ciel, toute les étoiles qu’elle avait autrefois, déjà vue.
Oui… une nuit, elle n’avait alors que 4 ans, mais cette soirée s’était imprimée dans la tête de Frédérique, elle s’en rappellerait toute sa vie. En fait, elle était en train de s’endormir, lorsque son père vint la chercher, il l’emmena alors dehors et c’est là qu’elle vit de la magie pour la toute première fois. C’était le ciel… Il était remplis de milliards de petit points blancs, comme elle trouvait cela magnifique. Puis doucement, elle avait prit la main de son père, signe qu’elle voulait qu’il la prenne. Il le fit, et alors, elle chuchota dans l’oreille de son père : « Papa… ce sont des fées dis? » Un sourire s’était dessiné sur le visage de l’homme roux, et celui-ci, d’une voix grave et douce, dit : « Non Frédérique… ce sont des trous. Des trous dans le plancher du paradis! »
Le silence s’installa ensuite, ils n’échangèrent qu’un bonne nuit, et partirent chacun de leurs côtés. Elle dans son lit… Lui, elle ne le savait pas. Mais elle y pensa toute la nuit, toute la nuit à cette soirée, qu’elle avait particulièrement appréciée.

Maintenant, elle courait dans les rues de la grande ville. Elle courait sous la pluie, regardant la lune, qui se dévoilait. Elle n’entendait rien, elle n’était attentive qu’à la pluie et à la lune. C’est pourquoi, bêtement, elle accrocha une personne. Pas assez fort pour qu’elle en tombe, ou pour que l’autre personne n’en tombe, mais assez pour qu’elle se retourne, et au travers du rideaux de pluie, elle vit un homme.
Elle cligna des yeux, avant de s’apercevoir qu’il venait de dire quelques mots. Ne les ayant pas entendue, elle fronça les sourcils, et dit plus fort :

« Pardon… »

Son ton n’avait pas été interrogateur comme elle l’aurait voulue, il avait été simple. Comme si elle s’excusait, et en fait, c’est ce qu’elle faisait. Elle avait foncé dans quelqu’un, c’était la moindre des choses de s’excuser.
Doucement, alors qu’elle fixait cet inconnu, ses cheveux roux, presque orange par la lumière de la lune, tombèrent devant son visage. L’eau les parcourait. Et ses vêtements… Ses vêtements pâle lui collaient à la peau, moulaient ses forment, pas ce qu’elle souhaitait, elle était même embarrassé par cela.

*Je n’ai pas parlé assez fort ?*

C’est la conclusion qui lui vint en tête lorsqu’il vu l’expression d’incompréhension de la belle inconnue. Il ne l’avait vu que quelques instants, sous ses cheveux qui venaient lui cacher la vue, et la pluie qui brouillait sa vision, mais il avait rapidement remarqué sa beauté. Elle ne le laissait pas indifférent. Mais il ne peut s’empêcher de se demander si elle faisait parti des créatures qui prenaient plaisir à tuer, même si il refusait de croire qu’une si belle créature puisse faire du mal à qui que se soit. Lorsqu’elle lui demanda pardon, il rougit, mais ce détail était complètement masqué par la pluie. C’était elle qui s’excusait alors que c’était lui qui marchait les yeux fermés ? Il se trouvait bien idiot, et pas seulement parce qu’il lui avait foncé dedans : s’il serait tombé un démon ou un loup-garou, au lieu de cette belle jeune fille, il serait déjà mort. Il répondit, doucement, mais tout de même plus fort pour qu’elle l’entende cette fois.

-C’est ma faute. Je marchais les yeux fermés et…

La suite était claire, et c’est pourquoi il préféra se taire. Des yeux, presque involontairement, il parcouru les formes qui étaient les siennes, non pas sans un léger plaisir et une certaine gêne de croiser le regard de la jeune fille. Il n’était pas trop habitué à de telle vision, et cela le mettait dans une situation qu’il trouvait quelque peut troublante…

Ils s’observèrent un moment, suivant le mot qu’avait prononcée Frédérique, puis il se mit à parler. Non ce n’était pas de sa faute a elle, mais de sa faute à lui. Il avait les yeux fermé, et donc n’avait pas vu où il allait, et donc vers qui. En fait, elle en était tout aussi fautive, elle avait levée la tête pour observer le ciel, donc c’était tout autant de sa faute. Elle voulue donc parler, avant de s’apercevoir que l’inconnu, était en train de regarder intensivement Frédérique, et pas juste un peut. Leurs regards se croisèrent, les joues de Frédérique s’empourprèrent. Elle agissait bizarrement, normalement, elle se serait mise à engueuler cette personne qui l’avait accroché, mais pour l’instant, elle ne faisait que porter son regard sur lui, tout en voulant s’expliquer.

« Non… je t’assure, c’est aussi de ma faute, si je n’avais pas été absorbée par la lune, je t’aurais évité! ^^ »

Elle sourit doucement, sachant qu’il ne la verrait sûrement pas de toute façon, pour se donner une contenance. Elle essayait de mieux voir l’étranger, elle forçait son regard à se porter plus près de lui. De ce fait, elle commençait à s’approcher de lui, mais avant qu’elle n,ait pue distinguer correctement son visage, un homme passa derrière elle en courant, et la poussa. Elle essaya de se rattraper, mais ne fit que tomber au pied du garçon. Un peu plus près, et elle lui broyait les orteils!
Donc, doucement, elle se releva en se frottant les fesses. Et c’est en relevant la tête, qu’elle le vit très bien. Elle ne s’était pas aperçue qu’en se relevant à cet endroit, elle serait quasiment collée contre lui. Donc, elle recula de deux ou trois pas, de manière à pouvoir le voir correctement, puis, elle rougis de plus belle.

« Hem… les gens de nos jours. »

C’est ce qu’elle marmonna tout bas, avant de baisser la tête, et d’éternuer.

Et oui, elle avait croisé son regard. Mais finalement, il ne se sentait pas si mal. Peut-être parce que, et ce n’était qu’une simple supposition, cela ne lui déplaisait pas, ou qu’elle n’était elle même pas totalement indifférente. Lorsqu’elle lui expliqua qu’elle était aussi fautive que lui-même, il sourit. Aussi bête que cela pouvait paraître, il se sentait moins stupide en face d’elle puisqu’elle partageait le blâme avec lui. Il répondit presque immédiatement.

-Dans ce cas, nous sommes tout les deux coupables.

Lorsqu’elle avança vers lui, pas à pas, il suivit le moindre de ses faits et gestes, au point où ce fut tout juste qu’il ne tomba lui même lorsqu’elle se fit poussé par quelqu'un. Il tenta de la rattraper, mais il était trop lent, sans parlé du trottoir mouillé sur lequel il faillit perdre pieds. Puis, elle se releva, si près de lui, qu’il vit clairement les traits si fins du son visage. Et ses yeux... Si profonds, si pâles. Son cœur se mit à battre si vite, qu’il n’entendait même plus la pluie. Il avait envie de ses lèvres pulpeuses qui étaient si proche de son visage, mais il n’osa pas y poser les siennes : si elle le repoussait ? Non, il se contenta de la regarder et d’écouter son cœur battre à un rythme fou. Puis, elle recula, déclenchant chez lui un soupir à peine perceptible.

« Hem… les gens de nos jours. »

Mais Jake l’entendais à peine. Elle avait rougit. C’était tout se qui comptait à ses yeux. Et si elle avait pensé à la même chose que lui ?

-Oui… Ils sont, plutôt impolis.

Quand Jake soupira, un sourire apparue sur le visage de Frédérique. Et il dit quelque chose à son commentaire. Son visage s’éclaircit légèrement, et un frisson la parcourue. Elle commençai à avoir froid, alors, elle dit :

« Hem ouais… mais euh, je sais pas pour toi, mais moi je commence à avoir affreusement froid, alors si tu veux parler avec moi, ce serait bien qu’on trouve un endroit plus approprié! »

Son tact était encore à travailler, mais au moins elle disait ce qu’elle voulait, c’était un bon point en un sens. Elle se tourna un dos à lui, et regarda le nom de la rue, mmmh, elle n’était pas loin de son abris, elle pouvait facilement s’y rendre. Oh, et si elle n,aurait pas été avec cet humain, elle aurait pue se transformer en loup-garou pour allez plus vite. Erf…
Bon, elle sourit tout de même et ajouta :

« Allez, toi aussi tu dois avoir froid, j’t’emmène dans mon abris! »

Elle empoigna le poignet de celui-ci, et le traîna sur plusieurs rues, puis ils entrèrent dans une ruelle, à partir de là, il entrèrent dans un immeuble. Un immeuble abandonnée, au Frédérique s’était installé. C,était bien conçu, il y avait beaucoup d’espace.
Et quand ils furent entrer, elle s’assied sur le sol, détachant ses bottes.

Lorsqu’elle proposa de s’abriter, Jake ne répondit tout simplement pas, trop coincé pour trouver une réponse qui ne risquait pas d’être mal interprétée. Mais il est vrai qu’il avait l’impression d’être trempé jusqu’aux os, mais il ne s’en préoccupait pas plus que ça. Puis, sans qu’il est dit quoi que se soit, l’inconnue le saisit au poignet et l’entraîna vers ce qu’elle avait appelé son abris. Même s’il n’offrit aucune résistance, et fut surpris par la fermeté, et la force, de la poigne de sa guide. Elle savait prendre des initiatives, se qui lui plaisait d’avantage. Il eut soudain le goût de dire une phrase, inutile, mais qui montrait sa docilité :

-Je vous suis.

Il y avait, cependant, une once de défi dans ces trois mots. Il omit complètement de regarder où ils allaient, se qui signifiait qu’il allait probablement avoir de la difficulté à retrouver son chemin. Il n’avait pas peur, mais il ne cessait de s’imaginer des scénarios dans le genre :

*Ce qui serait marrant, enfin pas tant que ça, ça serait qu’elle m’amène dans un repère de vampires, et donc, du même coup, qu’elle en soit un.*

Se trouvant un tantinet paranoïaque, se concentra sur le lieu où elle l’avait amené. Abandonnée, cette immeuble était plutôt propre. Intérieurement, il était soulagé que l’endroit ne regorge pas de démons, de vampire ou autres créature de genre. Sa belle hôtesse s’était assise et entreprenait d’enlever ses bottes. Jake l’imita. Tout en délassant ses souliers, il lui posa une question indiscrète.

-Vous venez souvent ici ?

Son interlocuteur s’assied à son tour, pour lui aussi retirer se qu’il chaussait. Il eu un court silence, rapidement rompu par une question, étrange. Elle le regarda, puis sourit, c’était bizarre, on ne demandait pas ça, c’était pourtant clair. Enfin bon, elle dit d’une petite voix qu’elle voulait rieuse :

« Euh… c’est ma maison, donc, oui je viens souvent ici. »

Une fois qu’elle eu retiré ses bottes, elle se leva et sans dire mot, elle alla dans une autre pièce. Pendant quelques minutes, elle laissa son invité seul, car en fait, elle se changeait. Elle était en train de se débarrasser de ces vêtements pas du tout confortable, et se rhabillait.
Elle mit un petit short, très court en jeans, effilé dans le bout, et un chandail noir, rayé. Elle s’habillait avec ce qu’elle trouvait, et c’était bien, les gens jetait, de plus, des vêtements presque neuf, pouvant servir dans ces temps difficile.
Alors donc, elle revint dans la première salle, et en s’approchant, elle ouvrit une lumière. Une forte lumière, qu’elle voulait ressemblante à celle du soleil, pour effrayer les vampires la nuit. Elle revint aussi, avec un chandail et un pantalon d’homme, elle avait estimer qu’ils feraient à…. Et c’était quoi son nom?

« Hem, tu t’appelles comment? »

Elle sourit doucement, déposant les vêtements qu’elle lui apportait à côté de lui, et se laissa choir au sol, pour le regarder.

*Ça m’apprendra à agir avant de réfléchir, au lieu de réfléchir avant d’agir…*

Il avait reçu la réponse comme une gifle. Qu’il était bête. Puis, elle changea de pièce. Il n’osa pas bouger, pour ne pas mouiller tout le plancher, malgré que son hôtesse, elle, ne semblait pas trop y avoir pensé. Il attendu donc, patiemment, contre la porte d’entrée. Enfin, elle revint, et Jake put voir la cause de son absence Lorsqu’elle ouvrit une lumière très vive, Jake eu un mouvement de recul : ses yeux s’étaient habitués à l’obscurité, et n’eurent pas le temps de de s’accommoder à la lumière. Lorsqu’il les rouvrit, la jeune fille, qui se dirigeait vers lui, du linge dans les bras, lui demanda son nom. Il les prononça, un peu trop rapidement, se qui eut comme résultat de massacrer son nom de famille.

-Jake Sylevetre. Euh… Sylvestre.

Et ne c’était toujours pas habitué au fait qu’il portait un prénom anglais, mais un nom français, et il trouvait que, les deux réunis, ils avaient une prononciation étrange. Bref, elle connaissait son nom, et lui non. Avant qu’il ne puisse se renseigner, elle déposa le linge qu’elle portait à côté de lui. Il prit le linge des ses bras, et la regarda d’un air surpris. Elle s’était assis et le regardais à présent. Non pas que cela le gênait, enfin, pas trop, mais il s’attendait qu’elle l’envoie dans la chambre de bain pour se changer. Se disant qu’il s’en faisait bien trop pour rien, il entreprit d’ôter son chandail, révélant son torse nue. Au moins, il n’avait pas honte de son corps, se qui malgré la gêne passagère, lui ôta toute timidité : au lieu de mettre l’autre chandail qu’elle lui avait prêté, il retira d’abord ses pantalons mouillés, ne le laissant vêtu que de ses sous-vêtements et de ses bas. Il se surprit à regarder attentivement la réaction de sa belle hôtesse. Puis, il commença à enfiler les vêtements secs qui était à sa droite.

-Et… Votre nom à vous ?

Jake Sylvestre…
Joli nom, bien qu’étrange! Elle n’avait auparavant jamais entendu de nom de la sorte. Ce devait être parce qu’elle ne parlait pas beaucoup aux gens qui l’entouraient. Bon, alors qu’elle souriait, le regardant, il entreprit de retirer son chandail. Wow! O__O La face qu’elle dit lorsque ensuite il retira son pantalon, presque sa gêne. Ses joues rougirent, et elle détourna légèrement le regard et… sourit. Ses cheveux roux tombèrent sur son visage, ils étaient encore trempe et dégoulinant. Puis, par chance, il commença à se rhabiller, elle put enfin se remettre à le regarder. Et lui, il lui demanda à son tour, son nom. Elle le dit donc, doucement :

« Je m’appelle Frédérique… Euh… Award! »

Elle sourit de nouveau, avant de se lever et d’ajouter.

« Euh, tu… tu as soif? »

Qu’elle était bête…. Après une belle pluie il aurait soif? Non, ça ne se pouvait pas, enfin, peut-être. Donc, elle attendit la réponse, comme si de rien n’était. Sa gêne reprenait le dessus, elle s’empourprait de plus en plus. Elle jouait des pieds sur le sol, se balançant de gauche à droite, et jouait avec une de ses mèches de cheveux, l’enroulant autour de son doigt. Elle mordillait aussi sa lèvre inférieur, sans arrêter de la fixer, attendant la réponse.

Il se sentait un peu arrogant. Il était fier de la réaction qu’il avait causé chez elle. Une fois qu’il eut fini de se vêtir, et lui révéla son nom. Frédérique Award, non seulement son nom sonnait merveilleusement bien, mais il remarqua que, elle aussi, possédait un prénom et un nom de différente origine, mais contrairement à lui, c’était son prénom qui était français, et vice-versa pour son nom de famille. Sans même qu’il s’en soit rendu compte, elle s’était levée. Ses cheveux mouillés masquant son visage la rendait encore plus jolie.

«Euh, tu… tu as soif ?»

Il n’avait pas réellement soif, mais, l’idée de prendre un verre en sa compagnie ne lui déplaisait pas. Il s’attarda sur son visage avant de répondre. Elle se mordillait la lèvre et jouait avec une mèche de cheveux, il la trouva d’autant plus craquante. Il s’amusa à penser que, si ça continuait ainsi, il risquait d’avoir du mal à se contenir. Il répondit enfin, d'une voix tardive, mais néanmoins invitante.

-Seulement si vous aussi, vous avez soif.

Il alla se placer à ses côtés, tout en gardant une distance qu’il jugea approprié : il ne voulait pas non plus être envahissant. Il plongea ses yeux dans les siens, attendant tout simplement la réponse.

Avant de ne lui répondre, il la regarda un moment. Frédérique se demandait pourquoi, mais bon, elle ne s’attarda pas à ce détail, et attendit encore une fois la réponse, jusqu’à ce qu’il la lui serve. Il avait soif, seulement si elle avait soif. Mouais bon, bizarre ça.
Enfin, elle pensa un peut, avant de se rappeler qu’elle n’avait rien d’autre que du vin, car dans l’immeuble, il y avait eu autrefois des gens, et elle avait découvert une fameuse cave à vin. Alors, elle se tourna et marcha vers un genre d’escalier, la elle tourna la tête et dit :

« J’espère que tu aimes le vin… »

Elle n’attendit pas de réponse ou de commentaire, elle descendit les escaliers, quand elle fut arrivé en bas, une lumière s’ouvrit, elle chercha un moment, avant de tomber sur une merveilleuse bouteille. Un Chalaud Soulant de 1937. Ce devait être des riches…….. O__O
Une telle bouteille devait valoir une petite fortune. Alors, elle prit la bouteille d’une main, de l’autre elle empoigna deux coupes, qui traînait dans la cave, dans un petit buffet, puis elle remonta les marches, sans éteindre la lumière. Puis, elle alla un peut vers Jake, et dit :

« Hem, je sais que c’est dur à croire… enfin, peut-être que non, j’me goure peut-être, mais enfin, j,ai des divans très confortable…. Enfin, ils ne sont pas à moi, mais puisque plus personne ne vit ici, je les utilise, et euh, bah voilà… on serait mieux que sur le sol. »

Elle se tourna de nouveau, et changea de pièce… sûrement suivit de Jake. Elle alla s’asseoir sur un fauteuil, ayant déposé les coupes et le vin, les jambes passé par dessus un accoudoir et le dos contre l’autre, puis regarda Jake.

Du vin. Pourquoi pas. Il en avait bu que très peu de fois, et n’avait pas trouvé désagréable. S’il s’en souvenait bien, par contre, il en avait pris un petit peu trop… Mais ça ne saurait pas un problème, pas cette journée là, se dit-il. Lorsque Frédérique remonta l’escalier, un vin vieux de plusieurs décennies et deux coupes à la main. Elle lui demanda, d’une façon assez déconcerte, et Jake eut le plaisir de constater qu’elle avait dit le mots enfin environ trois fois, d’aller s’asseoir sur les sofas qui se trouvaient probablement dans ce qui était le salon.

-Je suis d’accord, rien de mieux qu’un sofa pour boire un verre de vin.

Il la suivit, puis il prit place dans un sofa, alors que son hôtesse faisait de même dans un fauteuil. Elle avait déposé la bouteille de vin et les coupes sur la table basse. À présent, elle le regardait. Se demandant se qu’elle attendait, il prit l’initiative de la servir Il sorti son couteau suisse, qu’il s’était procuré dans une bijouterie saccagée, et dévoila le tire-bouchon. Une fois le bouchon retiré, il versa le vin, qui avait une forte odeur envoûtante. Jake regarda alors la bouteille. Il haussa un sourcil lorsqu’il vu la date. Il se remit à verser la vin dans l’autre coupa, qu’il présenta alors à Frédérique, avant de lui sourire et de dire, d’une voie innocente.

-Un toast ?